Archive | février, 2023

Jacobites – Howling Good Times (en CD en 1993 chez Regency Sound et réédition en vinyle en avril 2023 chez Bang ! Records)

24 Fév

For the first time on vinyl, Jacobite‘s Howling Good Times (1993) is now being presented on deluxe version. This album exposes Jacobites at their purest essence with full band and high-quality studio recordings, with the band delivering a top performance. An absolute must for all Nikki Sudden and Dave Kusworth fans. The international critical acclaim received on Nikki Sudden’s last two albums and with Dave Kusworth’s career will certainly help provide new fans for this great long-lost album. The band: Nikki Sudden – acoustic and electric guitars, vocals; Dave Kusworth -acoustic and electric guitars, vocals; Glenn Tranter – guitars, mandolin, dulcimer, backing vocals; Carl Eugene Picot – bass guitar, backing vocals; Mark Williams – drums, percussion; Terry Miles – piano, Hammond, keyboards; Max Edie – vocals. Electrically recorded by John Rivers at Woodbine St. Produced by Nikki Sudden, Dave Kusworth, and John Rivers Released under license from Easy Action Records UK. (BANG RECORDS)

Je Surkiffe le pauliste Sergio victor Sayeg alias SESSA

21 Fév
Sergio Sayeg, alias Sessa, a toujours été fasciné par ce qu’il appelle le bazar de la musique : sa nature accidentelle et tortueuse, un chemin sur lequel les musiciens et le public peuvent atteindre un dessein supérieur. Un amour suprême si vous voulez. Alors que le premier album de Sessa, Grandeza en 2019, explorait les plaisirs corporels et la douce ivresse d’être amoureux, son nouvel album, Estrela Acesa (que l’on peut traduire par « étoile étincelante »), regarde vers le ciel et réfléchit à l’amour à la fois sensuel et spirituel, dans les affres des effets secondaires qui en résultent. Né à São Paulo mais se sentant chez lui partout, Sessa a conçu son nouvel album comme un pont pour relier les royaumes terrestres et astraux de la musique. Une joie sensuelle parcourt les douze titres d’Estrela Acesa. Tout est là dans les deux minutes concises de “Gostar do Mundo”, le morceau d’ouverture qui joue avec le sentiment de tension parfois associé à la musique brésilienne : la lumière tropicale ensoleillée et les bonnes vibrations mais aussi l’impossibilité même d’en profiter avec le monde en pandémie, un président fasciste… Une musique brésilienne avec des touches à la Erasmos Carlos et João Donato, mais la plus grande influence au niveau du rythme est ici le roots reggae de Johnny Clarke. Dans le légendaire disquaire new-yorkais de l’East Village où il travaillait, Tropicália in Furs, Sessa s’est immergé dans les nombreuses splendeurs des sons qui se sont mélangés autour de lui. Tout en chantant dans son portugais natal, il privilégie le minimalisme et la franchise poétique des auteurs comme Bill Callahan, Nick Drake et Leonard Cohen, associés aux timbres et textures de chercheurs spirituels comme Pharoah Sanders, Alice Coltrane et Yusef Lateef. Des pointes de ce jazz libéré ont d’abord émergé sur Grandeza, en revanche sur Estrela Acesa, les superbes orchestrations offrent une douce transcendance. Au premier plan se trouve l’interaction nuancée entre Sessa et son trio composé du bassiste Marcelo Cabral et du percussionniste et coproducteur Biel Basile. Il y a aussi les chœurs et les percussions de Ciça Góes, Ina, Paloma Mecozzi, et Lau Ra, offrant une élision entre chaque passage soigneusement travaillé, entrelacé avec l’élégante flûte de Gabriel Milliet. Tout est rehaussé par l’orchestration fournie par l’arrangeur biélorusse Alex Chumak et le new-yorkais Simon Hanes, donnant à Estrela Acesa une sensation à la fois minimale et opulente ; les chansons s’épanouissent progressivement dans un paysage luxuriant et fertile. « Cançao da Cura » (« chanson de guérison ») est une chanson de rupture dans la tradition de Paulinho da Viola ou de Baden Powell, mais elle parle aussi des propriétés cathartiques que peut avoir une telle musique. Sur le morceau instrumental serein « Helena », Chumak et Hanes transmettent un sentiment intense avec leur travail sur les cordes orchestrales. Le résultat sonne comme une pièce maîtresse de l’album. On pense au son de Rogério Duprat sur ces fameux disques de tropicália ou Walter Branco sur le sublime Previsão Do Tempo de Marcos Valle, et surtout le légendaire arrangeur Arthur Verocai. Estrela Acesa est un album d’envies contradictoires dans un doux équilibre. A la fois intime et grandiose, Sessa trouve des raisons pour célébrer la magie de la vie au milieu de la réalité écrasante du présent. Il y a une lumière à trouver dans les ténèbres dévorantes.(mexican summer)

Les milles vie de Jean Maurille Ogoudjobiles aka FERRY DJIMMY

21 Fév

Jean Maurille Ogoudjobi
Born in 1939, Ferry had 43 siblings. By the late 1950s, he started a career as a schoolteacher. As a tall and imposing young man, Ferry also started a parallel career as a boxer. When he wasn’t teaching or fighting, he also caught up with the emerging night scene in the city of Cotonou, where local folklore, Congolese rumba, highlife and Cuban adaptations were favoured by local audiences as well as some blues, jazz and rhythm’n’blues. By the late 1960s, Ferry had relocated to Paris where he became a policeman, often asked to assist Jacques Chirac on various missions before the future President of France became mayor of Paris in 1977. It was here in the early ‘70s he recorded his first two singles, ‘A Were Were We Coco’ and ‘Aluma Loranmi Nichai’. These songs met little interest and by 1974 Ferry was back in Cotonou.

His return to Benin coincided with 1972s revolution’s journey toward Marxist-Leninism. The country’s leader Mathieu Kerekou was impressed by Ferry’s charisma and striking look and became fast friends with him. He saw in him a personality that could seduce the younger generation in a funkier way than straight Socialist speeches. He allowed Ferry a certain budget to start his own record company called Revolution Records.
Inspired by Afrobeat, Nigeria’s Fela Kuti and his musical journey over the past decade, Ferry recorded Rhythm Revolution in Cotonou at the Satel studio. Wanting his musical vision to stay as intact and raw as possible, Ferry played most of the instruments himself – guitar, saxophone, drums/percussion and keyboards.

By 1977, on the advice of Fela Kuti, Ferry had relocated to neighbouring Lagos with his family. He often visited his friends Fela, Orlando Julius and Geraldo Pino and hung around with Juju music master King Sunny Ade. In early 1980, he got to meet up with his long-time idol, Mohammed Ali, who was on an official visit to Lagos in order to convince Nigeria to boycott the 1980’s Moscow Olympics.

Keeping his artistic vision intact, Ferry continued touring and recording music with his family band, the Sunshine Sisters, but these songs were never released. A heavy smoker, Ferry died of a heart failure on 29th May 1996 in Lagos. (Mazzoleni and acid jazz)

UN SONGWRITER DE COEUR DE MR PERSEVERANCE

20 Fév

DE LA SONO MONDIALE DE COEUR DE MR PERSEVERANCE

20 Fév

NORMA TANEGA = GREAT BLACK MUSIC DE COEUR DE MR PERSEVERANCE

20 Fév

UN KILLER TRACK DE COEUR DE MR PERSEVERANCE

20 Fév

Billy MacKenzie est un Ecossais de cœur de Mr Persévérance

17 Fév

ERNEST HOOD est un Magnificent Losers de cœur de Mr Persévérance

17 Fév

UN 45 T DE COEUR DE MR PERSEVERANCE

17 Fév